Salut, <br><br>Comme promis, un mail un peu plus détaillé sur le programme de la semaine.<br>(http://cgalyon.ouvaton.org/spip.php?article43)<br><br><br><div id="editorUserSignature" style="display:none;"></div><strong> <h3>Du 16 au 20 juin : Projections à la Plume Noire !</h3> </strong><br>  La Plume Noire renoue avec ses projections et vous propose donc 4  projections sur 4 thématiques différentes du lundi 16 juin au vendredi  20 juin !<br> Si cette expérience fonctionne, nous pourrons sûrement mettre en place plus régulièrement des semaines comme celles-ci.<br> Toutes les projections sont à prix libre.<br> Ouverture de la librairie à 20h et début de la projection à 20h30.<br>  Voici le programme :<br> <ul><li> <strong>Lundi 16 juin à 20h : Gabrielle (Canada - 2013 - 1h44’)</strong>  On  tente un sujet très peu abordé dans la société, à savoir l’émancipation  des personnes déficientes intellectuelles, notamment au niveau social  et affectif. Et comme d’habitude sur ce sujet, c’est au Canada qu’il faut aller  chercher des fictions sur le sujet !<br><em>Synopsis :  Gabrielle et Martin tombent fous amoureux l’un de l’autre. Mais leur entourage ne leur permet pas de vivre cet amour comme ils  l’entendent car Gabrielle et Martin ne sont pas tout à fait comme les  autres. Déterminés, ils devront affronter les préjugés pour espérer vivre une  histoire d’amour qui n’a rien d’ordinaire.</em></li></ul><ul><li>  <strong>Mardi 17 juin à 20h : Les Invisibles (France - 2012 - 1h55’)</strong> Un  documentaire sorti en 2012 réalisé par Sébastien Lifshitz qui a passé  près d’un an et demi à chercher les témoins nécessaires au tournage de  son documentaire. Il a contacté pour cela de nombreuses associations  françaises, notamment ARIS à Lyon. Lifshitz a rencontré 70 personnes et a  filmé 10 portraits de couples ou d’individus, dont certains n’ont pas  été retenus dans le montage final.<br><em>Synopsis :   Des hommes et des femmes, nés dans l’entre-deux-guerres, ils n’ont aucun  point commun sinon d’être homosexuels et d’avoir choisi de le vivre au  grand jour, à une époque où la société les rejetait. Ils ont aimé,  lutté, désiré, fait l’amour. Aujourd’hui, ils racontent ce que fut cette  vie insoumise, partagée entre la volonté de rester des gens comme les  autres et l’obligation de s’inventer une liberté pour s’épanouir. Ils  n’ont eu peur de rien...</em></li></ul><ul><li>  <strong>Jeudi 19 juin à 20h : Documentaires sur l’autogestion</strong><br>Pour  cette soirée dédiée à l’autogestion, nous vous proposons de choisir  parmi 4 documentaires celui ou ceux que vous souhaiterez visionner.<br><strong>- D’un funérarium à un hôpital (Venezuela  -2009 - 26’)</strong><br>La traduction d’un petit documentaire de Cecosesola, sur leur histoire et la dynamique actuelle. <em>Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au  fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs,  aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de  participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante  dans tous les postes de travail … et bien plus</em><br><strong>- Charbons ardents (France - 1998 - 90’)</strong> <em>En  avril 1994, épuisés par une lutte acharnée contre le gouvernement  conservateur de Margareth Thatcher, les mineurs de "Tower Colliery",  propriété nationale de la British Coal (au pays de Galles), votent la  fermeture de leur mine comme beaucoup d’autres. Mais leurs dirigeants  syndicaux refusent d’accepter cette défaite et réussissent à convaincre  les mineurs de racheter "leur mine" en réinvestissant leurs indemnités  de licenciement.</em> <em>Ce film, plein d’espoir, retrace cette aventure exemplaire, menée par des hommes et des femmes ordinaires.</em><br><strong>- L’autogestion, une révolution économique (2014 - 1h25)</strong><br><em>Depuis  toujours, des alternatives économiques égalitaires et démocratiques ont  existé un peu partout dans le monde. Dans ce documentaire après une  courte analyse des modes de production contemporains et d’un petit  historique de l’autogestion, nous suivons l’expérience de la FASINPAT,  une usine récupérée en Argentine. Les travailleurs de la FASINPAT et  quelques intellectuels-les nous expliquent en profondeur quel fut leur  processus et comment ils s’organisent pour que l’autogestion fonctionne.  </em> <br><strong>- IMPA, usine récupérée, cité culturelle (Argentine - 2009 - 18’)</strong><br><em>Ce  chapitre filmé entre juillet et septembre 2009, raconte l’histoire de  la première usine récupérée en Argentine. En 1998, les gestionnaires de  l’IMPA ont voulu transformer cette coopérative en une entreprise à but  lucratif pour ensuite la fermer et garder l’argent de la vente. En  prenant conscience de cette situation,les ouvriers et ouvrières à  travers des assemblées et de nombreuses années d’organisation et de  lutte décident de reprendre l’usine et la transformer en une coopérative  d’autogestion. L’IMPA représente le point de départ du MNER (Mouvement  National des Entreprises de récupérées), générant le meilleur exemple du  potentiel ouvrier et démontre qu’ils sont capable de gérer les moyens  de production, briser la dominationde classes et la subordination de  quelques-uns sur les masses ! </em> </li></ul><ul><li>  <strong>Vendredi 20 juin à 20h : Time Out (USA - 2011 - 1h55’)</strong> Pour  finir la semaine sur une touche un peu plus légère (quoique), rien de  mieux qu’un blockbuster ! Mais en grattant un peu, on s’aperçoit que  derrière la "super-production"...<br><em>Synopsis :En  2070, dans le ghetto de Dayton, Will Salas et sa mère vivent au jour le  jour, afin de gagner du temps... littéralement. Le temps est la nouvelle  unité monétaire mondiale, payant factures, péages, denrées alimentaires  ou biens de consommation depuis que l’être humain a été génétiquement  modifié afin de ne plus vieillir après l’âge de 25 ans. À partir de cet  âge, un compteur intégré à l’avant-bras de chacun, crédité d’une année,  se met en marche : s’il tombe à zéro, l’individu meurt. Ce compteur est  rechargeable au moyen d’appareils se plaquant sur le bras ou par  apposition d’un bras sur le bras d’un autre, permettant un transfert. On  gagne du temps sur ce compteur de bien des manières : par son travail,  par la solidarité entre amis ou au sein de la famille, en volant dans le  compteur d’un autre, par le jeu, par la charité, etc...</em></li></ul><div style="text-align: center;">  </div><img src="http://cgalyon.ouvaton.org/local/cache-vignettes/L259xH194/images-9813f.jpg" alt="" height="194" width="259"><br><br>Bonne fin de week-end!<br>J. pour la Plume Noire<br>